Le mur de bois
C’est quand même risqué de faire un mur en lambris, rien que d’écrire le mot « lambris » j’ai des petits relents d’acide gastrique dans l’œsophage. Les lambris sont tellement associés à la ringardise presque totale et absolue. Malgré mon aversion pour les lambris j’en ai posé en bas, allez comprendre, la nature humaine…
Mon frère a, comme d’habitude, été mis à contribution, mais est-il besoin de le préciser. Le pauvre garçon, je la lui joue tout le temps aux sentiments, éhéh je suis machiavéliste euh non machiavélique. Bien qu’en ce moment ça ne marche plus vraiment sur lui… Je pense qu’il se blinde, il faut que je trouve une nouvelle ruse imparable. affaire à suivre.
Donc le mur en bois,…, de lambris grrrsssssss….
Nous commençons par poser des lambourdes sur le mur tout pourri au chimique, plutôt cher, mais il faut ce qu’il faut ; le mur ne peut pas recevoir des chevilles normales.
Découpe des tiges filetées.
C’est plutôt compliqué de suivre la forme des voutains. Mais mon frère s’en sort parfaitement. Sur le coté droit vous remarquez également que le forme des galet à également été suivi. La technique du mec putain c’te technique… la classe, il ne recule devant rien.
et voila, mon frère peu repartir chez lui vivre ça vrai vie. Heureux d'avoir aidé son grand frère qui sait rien faire.
En fait c'est pas des lambris, c'est du planché acheté chez Casto, un arrivage vraiment pas cher.
Ça fonctionne bien du parqué au mur.